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Corail en danger

Le 5 septembre 2005, par Prisco -
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Aujourd’hui, dans de nombreuses régions du Monde, l’homme est devenu le principal ennemi de la Nature par des pratiques non respectueuses de l’Environnement. Le corail, élément essentiel des fonds marins, est une de ses premières victimes.

Depuis plusieurs années, des ONG tirent la sonnette d’alarme : le corail, un des plus beaux édifices naturels, est menacé de disparition, victime de l’égoïsme et de l’inconscience humaine.
© RFO

Une forêt tropicale sous les mers
Pendant longtemps, le corail est resté une énigme pour les hommes. Mi-minérales, mi-animales, 2 500 espèces de coraux peuplent les mers et les océans depuis plus de 100 millions d’années.

Ils sont l’œuvre d’un organisme vivant : le polype.
Dans le secret des profondeurs, les polypes, petits animaux microscopiques, se fabriquent un squelette en calcaire qui les protége des éventuels prédateurs. C’est ce squelette qui constitue la charpente du corail. Des algues, des éponges ou encore des mollusques viennent apporter, par la suite, leur contribution à l’édifice, pour former le corail définitif.

Les polypes vivent généralement par groupe, en colonies. Tous ensemble, avec le temps, ils forment de véritables « murailles sous-marines », appelées :récifs coralliens . Quand l’un d’entre eux meure, un nouveau corail prend naturellement sa place, ajoutant ainsi une nouvelle couche au récif.

Il existe trois grands types de coraux dans le monde :

Le récif frangeant s’étire le plus souvent le long des côtes. Dans l’Outre-mer français, on le retrouve notamment en Martinique, en Guadeloupe et à la Réunion.

Le récif-barrière plus au large est séparé de la côte par un lagon. De petites îles coralliennes naissent parfois sur le récif. Ce relief est particulièrement fréquent en Nouvelle-Calédonie, autour des îles hautes de Polynésie Française, à Wallis, à Mayotte.

L’atoll est un récif de haute mer. Ceux de Portland en Polynésie Française, de Fairway et de Lansdowne en Nouvelle-Calédonie figurent parmi les plus connus.

Dans chaque corail, vit une cellule végétale microscopique : la zooxanthelle. C’est elle qui donne aux coraux leurs couleurs rouge, blanche, noire, etc. Autant de teintes qui, sous les mers turquoise, contribuent à la vision paradisiaque qui enchante tant les plongeurs.

Son environnement
Le corail est exigeant. Pour survivre, il a tout d’abord besoin de lumière. C’est pourquoi le plus grand nombre d’espèces vit à moins de 45 mètres sous la surface. Au-delà de cette profondeur, le corail se fait plus rare.

Pour lui, la température est également importante. Il affectionne tout particulièrement les eaux chaudes, entre 18 et 29 °. Les zones tropicales sont donc ses lieux de prédilection.

Un écosystème plus riche que la forêt tropicale
Le corail attire, la température et la lumière particulières dans lesquelles il se développe fait des envieux. De nombreuses espèces végétales et animales s’abritent en lui et trouvent dans son environnement de quoi se nourrir. Les jeunes poissons y trouvent également refuge.
Les scientifiques estiment à près d’un million le nombre d’espèces qui vivent dans et autour des récifs : poissons, éponges, anémones, étoiles de mer et méduses, etc. Autant d’espèces qui, sans lui, ne pourraient pas survivre. Maillon important de la chaîne alimentaire, il est donc indispensable à la vie sous-marine.

Importance de ce riche écosystème
Les récifs sont essentiels à la nature, mais également à l’Homme.

Un grenier alimentaire
Dans le monde, près d’1/2 milliard d’êtres humains vivent à proximité des côtes. Si les récifs coralliens venaient à mourir, ceci entraînerait une baisse significative du nombre de poissons dans ces zones. Ce serait alors une catastrophe pour la population des villages côtiers qui se nourrit exclusivement de la pêche.

Un rempart contre l’érosion
Les « villes sous-marines » créées par les coraux sont essentielles à la protection de l’environnement. Ces véritables barrières protègent les sites côtiers de l’érosion. Il faut rappeler que de nombreuses îles du Pacifique ne doivent leur existence qu’aux atolls qui les entourent. La destruction des récifs condamnerait ces territoires à être submergés par les eaux.

Bienfaits médicaux
Le corail fournit des éléments pour l’industrie pharmaceutique. Utilisé dans le traitement du sida, l’AZT est fabriqué à partir d’une éponge corallienne des Caraïbes. Il permet donc d’améliorer la vie des millions de personnes qui bénéficient de ce médicament.

Les propriétés du corail dans le domaine de la lutte contre le cancer ne sont également plus à prouver : la recherche a ainsi mis en évidence l’importance des organismes marins dans le traitement de cette maladie.

Récemment, un nouvel espoir est apparu pour les personnes atteintes des maladies d’Alzheimer et de Parkinson. Des scientifiques australiens auraient, en effet, découvert des bactéries dans la Grande barrière de corail du pays, pouvant agir dans le traitement de ces troubles liés à la vieillesse et à la dégénérescence des cellules nerveuses.

Il n’y a donc aucun doute : quand un récif meurt, il emporte avec lui des remèdes précieux, perdus à jamais.

Les récifs coralliens dans le monde
Les coraux sont présents partout dans le Monde, essentiellement dans les eaux des mers chaudes et dans les océans tropicaux.

Selon les dernières estimations du Centre mondial de surveillance continue de la conservation de la nature, ils couvrent près de 284 300 km², soit à peine la moitié de la France.

Il existe aujourd’hui 80 pays dits « coralliens ». Parmi eux, on retrouve notamment la France qui, grâce à ses territoires et départements d’Outre-mer, est présente dans trois océans : l’océan Pacifique, l’océan Indien et l’océan Atlantique.

C’est en Australie que se trouve le plus long massif corallien de la planète : La Grande Barrière de Corail. Long de plus de 2 000 kilomètres, d’une largeur maximale de 72 kilomètres, ce récif est situé au nord-est du pays. Il serait « le seul objet vivant visible depuis la Lune » !

SOS corail en danger
Les chiffres sont sans appel. Aujourd’hui, 10 % des récifs coralliens de la Planète sont morts. 30 % d’entre eux sont d’ores et déjà condamnés. 60 % sont menacés de disparaître dans les années à venir, victimes d’agressions multiples.

Le réchauffement :
En 100 ans, la température du globe a augmenté de 1 degré. Un réchauffement plus rapide qu’au cours de toutes les autres périodes terrestres. Cette évolution n’est pas sans conséquence : toutes les formes de vie voient donc leur environnement changer. Et le corail est loin d’être épargné...

Sous l’effet de la chaleur, les coraux rejettent leur hôte, la zooxanthelle. Ils perdent alors leur source d’énergie et leur pigmentation : ils blanchissent et meurent rapidement de ce que l’on appelle « la mort blanche ». Aujourd’hui, les fonds de l’océan Indien, et particulièrement de la Réunion, regorgent de coraux blancs. Une mortalité importante qui touche également ceux du Pacifique.

Les catastrophes naturelles :
Les cyclones et les tempêtes, très fréquents dans les régions de l’Outre-mer français, ont des effets désastreux sur le corail. Les destructions et les mouvements de terrain qu’ils provoquent déposent au fond des mers une quantité importante de sédiments qui, une fois dans l’eau, absorbent la lumière, indispensable à la survie du corail. Une situation qui, à Madagascar et à Mayotte notamment, a d’ores et déjà condamné une grande partie des récifs.

El niño :
De la même façon, le phénomène climatique El Nino survenu en 1998, a détruit environ 16 % des récifs dans le monde. Le Pacifique est malheureusement la première région touchée par ce dérèglement climatique généralisé.

Les maladies :
Ces dernières années, des maladies affectent le corail. Les maladies des bandes noires, des bandes jaunes et des bandes rouges agressent le récif et perturbent son développement. C’est essentiellement en Martinique et en Guadeloupe que les coraux souffrent le plus de ces épidémies.

Les microbes :
Plus récemment, des scientifiques ont révélé la présence de microbes marins dans les eaux, les microbialithes, qui, en recouvrant les profondeurs, prive le corail de lumière, indispensable à sa survie. Ces microbes se sont particulièrement bien développés en Polynésie française.

Selon certains spécialistes, le corail « ne passera pas le siècle »...

L’homme est un loup pour... le corail
Le principal ennemi du corail reste l’Homme. C’est lui qui, par ses activités, est à l’origine de la destruction du plus grand nombre de récifs coralliens dans le Monde. On estime à 70 %, le pourcentage de récifs qui devraient être détruits par les activités humaines dans les décennies à venir.

La pêche
Dans l’océan Indien, certaines techniques de pêche telles que l’utilisation de filets maillant, tuent des espèces nécessaires à l’écosystème des récifs. De plus, certains pêcheurs versent du poison dans les lagons, le plus souvent du cyanure, nocif pour l’environnement.

C’est la pêche à la dynamite qui reste la méthode la plus destructrice : des bâtons d’explosifs sont lancés à proximité des récifs et explosent à la surface de l’eau. Les poissons sont tués et la structure du récif détruite.
Selon le ministère français de l’Ecologie et du Développement durable, 82 % des récifs sont menacés par ces pratiques.
De manière générale, en pêchant certaines espèces, l’Homme prive les coraux de ses défenseurs naturels. Ainsi, la Couronne d’épine, une étoile de mer qui se nourrit de coraux, prolifère, en raison de la diminution du nombre de tritons géants, son principal prédateur.

La pollution
Quelle que soit son origine, elle fait également des ravages. Les produits chimiques, les engrais, les pesticides, les déchets en plastique et en métal, quotidiennement jetés à la mer, étouffent le corail.
Selon les derniers bilans officiels, 90 % des récifs de l’océan Indien auraient disparu suite à cette pollution.

Conquête de la nature
Poussé par une incessante soif de conquête, l’Homme bouleverse la nature. L’exploitation minière ou encore la déforestation provoquent des mouvements de terre, qui déposent dans les fonds marins des couches de sédiments qui privent, une fois encore, le corail de lumière. Il meurt étouffé.

Les essais nucléaires
Les derniers essais réalisés par la France à Mururoa, dans le Pacifique, en 1997, ont irrémédiablement endommagé l’écosystème et, par là même, les coraux.

Les récifs, victimes du tourisme dans l’Outre-mer français
Avec ses territoires de l’océan Pacifique, de l’océan Indien et de la mer des Caraïbes, la France possède une des plus grandes réserves de corail du monde. Les récifs coralliens des collectivités de l’Outre-mer représentent à eux seuls 5 % des récifs mondiaux, soit 14 280 km².

L’économie de toutes ces régions de l’Outre-mer français est, en grande partie, tournée vers le tourisme, qui génère de l’emploi et des revenus. Or, pour les spécialistes, les répercussions du tourisme de masse sur l’Environnement sont une des causes majeures de destruction des coraux.

Les infrastructures et les aménagements nécessaires au développement de ce secteur portent préjudice à la nature. Ainsi, les côtes sont régulièrement remblayées pour permettre la construction de ports et de chenaux pour la navigation de croisière.

La popularité de certaines activités, telles que la plongée et la pêche sous-marine, peuvent également nuire aux coraux. Le simple fait de toucher ou de heurter ces murailles peut leur nuire. Toute cassure, même minime, est dramatique.

Enfin, le commerce d’objets en corail pousse les individus à endommager directement les récifs. Ce commerce répond, avant tout, à la demande des consommateurs occidentaux, à la recherche d’exotisme. Il est toutefois bon de rappeler qu’une branche de 10 cm de corail met 1 an à se former, et seulement une seconde pour être détruite.

Coopération internationale
Une politique globale associant les Etats, les régions et les ONG, est nécessaire pour sauvegarder les récifs coralliens. Promouvoir la gestion des récifs à travers des réseaux locaux et mondiaux, mettre en place des programmes de financement et de développement pour la conservation durable des récifs et de leurs écosystèmes, sont deux des objectifs majeurs à atteindre.

En 1994, les Etats-Unis, les Philippines, le Japon, l’Australie, la France, la Jamaïque, l’Angleterre et la Suède se sont associés dans la lutte pour la protection des récifs, en fondant l’Initiative internationale pour les récifs coralliens et écosystèmes associés (ICRI). Cette organisation non gouvernementale a pour mission de promouvoir l’information internationale, de sensibiliser les populations, de mettre en place des initiatives en faveur des récifs et de surveiller la bonne gestion de leur protection. Aujourd’hui, elle regroupe 102 pays.

de 1999 à 2001 la France a assuré la présidence tournante de l’ICRI. Pendant cette période, des partenariats entre l’ICRI et d’autres organismes internationaux, tels que la Banque Mondiale et le Programme des Nations Unies pour l’Environnement (PNUE) ont été amorcés. En 2000, le PNUE a ainsi créé une Unité des récifs coralliens pour coordonner les efforts internationaux.

Par la suite, de grands rendez-vous internationaux ont permis de sensibiliser les populations :

1997 a été baptisée « année internationale des récifs coralliens »

1998 : « année internationale des océans ». Les récifs coralliens ont, en outre, été inscrits à la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction, qui fixe des quotas d’importation et d’exportation.

Les Etats se sont également investis pour mettre en place des données fiables dans le domaine de la gestions des récifs. C’est dans ce but qu’en 1996, le Réseau international d’action pour les récifs coralliens (ICRAN) a vu le jour. A ce jour, 70 pays y collaborent.

Aujourd’hui, 660 zones marines sont protégées dans le monde. Parmi elles, on retrouve notamment les récifs australiens et hawaïens.

Les efforts faits dans l’Outre-mer français
Consciente de la disparition progressive du patrimoine naturel de ses départements et territoires d’Outre-mer, la France s’est dotée de ses propres outils pour protéger cet environnement naturel exceptionnel.

Le 1er avril 1998, elle a mis en place l’Initiative Française pour les Récifs Coralliens (IFRECOR), placée sous la tutelle du ministère de l’Environnement et du ministère de l’Outre-mer. Un comité national a été chargé d’élaborer un plan d’action, adopté en 2000.

Sept collectivités françaises sont concernées par cette initiative : la Martinique, la Guadeloupe, la Réunion, Mayotte, la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie française ainsi que Wallis et Futuna. Sur place, des comités locaux, qui regroupent tous les acteurs impliqués dans la défense de ce patrimoine, ont pour rôle d’élaborer des plans d’action en faveur des récifs, de formuler des recommandations et des avis sur les moyens d’assurer leur protection et de développer l’information auprès du public.

En janvier 2002, préoccupé par la dégradation des récifs calédoniens, l’ancien gouvernement socialiste a officiellement déposé une demande de classement du récif calédonien au Patrimoine mondial de l’Humanité, auprès de l’UNESCO.
Les coraux calédoniens comptent parmi les plus remarquables au monde, tant par leur taille que par le nombre des espèces qui y évoluent.

Quelques initiatives locales
Les spécialistes sont unanimes : c’est essentiellement au niveau local que les initiatives seront les plus efficaces pour concilier le développement économique avec la protection des récifs. Il est urgent de limiter les actions de l’homme dans certaines zones par une réglementation locale.

Du côté des départements d’Outre-mer, en Martinique, en Guadeloupe et à la Réunion, le Schéma d’aménagement régional (le SAR) a fixé des orientations en matière de développement, de mise en valeur et de protection de l’environnement. Des quotas sur la pêche ont également été institués.

La Réunion se mobilise également pour la défense de ses récifs. En 1992, des arrêtés préfectoraux ont réglementé la pêche dans les zones coralliennes de l’Ouest. Les autorités de l’île ont également décidé de punir par des amendes les « braconniers », pêchant dans les lagons. Enfin, des corps-morts pour arrimer les bateaux de plongée ont été installés. Jusque là, en jetant l’ancre au hasard du courant, ces derniers endommageaient très souvent les coraux.

L’île de Mayotte n’est pas en reste en matière de protection. Un système de récifs artificiels, installés dans les fonds sous-marins, a vu le jour. Il permet notamment de créer de nouvelles zones de pêches, où viennent se nicher de nombreuses espèces, tout en préservant le récif naturel.

Un avenir sombre...
Il y a urgence. Le corail se meurt, et avec lui, c’est tout un écosystème aux possibilités insoupçonnées qui risque de disparaître. Il faut pourtant 100 millions d’années à cette merveille de l’environnement mondial pour se réimplanter après sa destruction totale.

Les solutions existent pour sauvegarder ce qu’il reste des édifices coralliens et du patrimoine naturel.
Les Etats semblent, malheureusement, plus enclins à réparer les ravages d’une industrialisation sauvage qu’à mener des politiques de prévention, certes plus coûteuses, mais oh combien plus efficaces.

Des moyens financiers et une réelle prise de conscience de tous sont nécessaires. La sensibilisation et l’éducation des population restent un point indispensable à leur sauvegarde.

Tout simplement pour que les récifs peuplent encore longtemps les fonds marins. Tout simplement pour que « la couleur reste dans l’océan »...

Pour en savoir plus sur le récif corallien : consultez le site du CIRCoP

Gladys Lepasteur, le 7 mars 2005

RFO

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